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Monday 6 December 2010

Commençons-nous par nous même !

‘Une adoptante ne se jette pas dans l’eau coulante pour sauver son adoptif’ ‘SIDIGI DAAD KAMA TALAWDO !’ Robleh Barre (alias Riyacase) ce simple nomade a mis sur place sur la scène du conflit d’une expérimente purement exceptionnelle pour éteindre le feu de la guerre et résoudre le problème de deux concitoyen. Sans recourir à des  discours plagiés, des conjonctures des  évènements délibérément crées avec des scenarios vague et ambigüe pour acquérir la reconnaissance éphémère des certains autres démagogues, qui ne nous emmèneront pas à la fin tant souhaitée pour notre patrie, et ca n’authentique jamais le devoir sacro-saint d’un vrai nationaliste. Aussi, ce brave nomade n’a jamais revendiqué de posséder de l’art magique pour résoudre les problèmes de ses concitoyens !
Egalement, nous n’avons pas besoin d’être plus intelligent que le peuple  pour que nous puissions adresser le phénomène de l’impasse politique de notre pays. Alors, si nous ne sommes pas des ‘adoptants et adoptantes’, au lieu de vivre ici dans l’Occidentaux et jouir d’une vie relativement plus à l’aise et  au lieu de citer des grands hommes qui ont empreignent l’histoire avec leurs idée et leurs âmes dans leurs luttes contre l’injustice comme Lincoln, Mandela, Gandhi, Malcolm X etc. pourquoi pas prendre leurs exemples immortels et retourner à Djibouti malgré tous ? Au lieu de proposer des modifications de la constitution improvisé et surannée, issu de compromis mutuelle et sacrifice réciproque nationale, populairement accepté et respecté, qui a donné la naissance de notre république, au détail, pourquoi pas une constitution entièrement démocratique par la quelle la désignation de la présidence du pays catégoriquement pour un groupe ethnique tandis que un autre groupe ethnique est exclusivement assigné d’occuper la moitié des sièges parlementaires ne seront plus la et seront automatiquement remplacer par des élections directe, libre et suffrage universelle? En bref, pourquoi utilisons-nous les mêmes méthodes idéologiques de nos adversaires politiques présumés si nous ne sommes pas des prototypes ?
Premièrement, ceux qui ne peuvent pas sacrifier leurs libertés personnels, ne patientent pas face à l’injustice et ne persévèrent pas la persécution étatique et toutefois préfèrent seulement critiquer sans proposer des alternatifs fiable et concrètes au peuple concerné ne sont pas des véritables politiciens qui veulent sincèrement parvenir leurs ambitions politiques par des voies originelles !
Deuxièmement, ceux qui demandent des modifications en détail de la constitution afin qu’ils réalisent leurs rêves politique ne sont pas des vrais lutteurs de l’injustice mais plutôt des politiciens pacotilles qui clochardisent les causes nobles de l’opposition honnête. Ces sont les promoteurs d’un système archaïque en guise du nationalisme fasciste! Ce cet groupe de gens qui mènent les campagnes anarchique pour saboter l’opposition et  créer une image chaotique de l’opposition auprès du peuple.
Troisièmement, nous pouvons différentier entre un gouvernement et son opposition par leurs programs politiques respectifs et non pas par l’appartenance ethnique, tribale ou clanique de ses dirigeants et sympathisants et s’il y’en a des partis exclusivement érigés pour certains ethnie, tribu ou clan, nous devons leurs éradiquer totalement de la scène politique nationale !
Finalement, dans la politique il n’y a pas d’affinité, il n’y a pas d’amitié ou inimité permanente mais certains de soi-disant intellectuels Djiboutiens s’adhérent aux des mouvements politiques ou il s’y trouve un membre de leurs ethnie, tribu ou clan par la pure naïveté. Et c’est ca qui simplifie les choses pour nos démagogues ! 'Vous n'êtes pas censés être si aveugles avec le patriotisme que vous ne pouvez pas faire face à la réalité. Mal est incorrect, peu importe qui le dit.' A dit le grand Malcolm X. Nous devons accuser toutes sortes, et sous toutes formes de prétextes, de la politique d’ethnicité, de la tribalité, des clanisme, du népotisme, du favoritisme familiale et du clientélisme peu importe qui l’utilise comme stratégie politique !
Nabad iyo Caano.

Tuesday 30 November 2010

Djibouti,ma cherie!Par Khaliffa Mikahil.

Djibouti Mon pays Djibouti ma patrie Djibouti ma nostalgie
A cœur ouvert je te chante aujourd’hui Cet hymne d’adoration,
Expression pour toi de mon amour.

Aujourd’hui, plus que jamais
...Un cordial appel je fais A tous tes fils de bonne volonté
Prêts à consentir les plus grands sacrifices, A serré les rangs et les coudes
En dépit des divergences qui nous rongent, En vue d’une Djibouti
A tous les points de vue libre et prospère, Une Djibouti a la hauteur et a la dimension De la Première République démocratique..., en Afrique de l'Est.

Lève-toi Djibouti L’heure de ta résurrection a sonne,
Sors du tombeau de la division, De luttes intestines pour le pouvoir,
Des attitudes patripochiste, patripiste et patripuchiste,
De la polichinellerie, de la mesquinerie; Sors du tombeau a la candeur léthargique, Lève-toi, sors de cette ambiance de nonchalant,
Dance cette euphorie de furie D’indolence de fort mauvais gout,
A la cadence d’une danse Menée par des apprentis folkloristes,
Des zombis promenant en plein midi A travers les édifications paradigmatiques
Qui ont orne avec tellement d’éclat Le patrimoine de l’histoire universelle,
Et que le syncrétisme archi-culturel Déborde chaque jour davantage
Les plus somptueuses frontières D’un assemblage super structurellement
Fragile et d’une régulation sans composition a priori Et une composition en décomposition sans régulation a posteori; Enfin sans un plan directeur,
Ou la sépulture de la nuit Et les vestiges du jour embellissent tes éparses avenues Invitant la population a s’incomber la tache D’a ton égard cesser de faire montre d’écurie Tout en leur inculquant a ceux qui ne tournent pas leur langue Sept fois leur bouche avant sur un quelconque sujet
Te concernant de se prononcer Et qu’au lieu de parler ne font que bavarder
Lesquels quand ils pensent jurer parjurent.

Djibouti, lève-toi L’heure ou tu dois t’organsiner, Non pas pour l’avenir de tes fils hypothéquer Sinon assurer et consolider et protéger a sonne,
L’heure où il était beau pour toi de mourir Est belle et bien révolue,
Tes champs se rassasient déjà de nos sangs, Tes terres arabes a chaque pluie vers la mer Par des milliers d’hectare se dirigent, Il ne nous reste presque plus d’arbre, Nos mornes souffrent de calvitie générale...,

Aujourd’hui tu es devenue des Antilles, la peine et la peur,
Plus personne ne te visite, Même tes propres fils te quittent,
Plus d’un veulent dans cette situation lamentable te maintenir,
Puisque cela fait leur affaire, Que de misérables et miséreux se sont enrichi de ta pauvreté: Djiboutiens et étranger, cons patriotes et cons citoyens,
Grandes puissances ainsi que nos soit disant pays amis,
Alors que le ventre de la majorité de tes fils Regorge du désir et de la nécessite de manger, Leur véritable pain n’est autre que la faim,
Toujours il la rumine, Et jamais ne s’en rassasie.

Mais, jusqu'a quand continuerons-nous A végéter dans cette inhumaine misère ?

On ne vit pas, on vivote!

Vivre humainement et dignement est ici un luxe,
Ce qui est des plus normaux ailleurs, La ou les gens vivent réellement
Est pour nous quelque chose d’extraordinaire.

On est en train de payer,
Si toutefois il faut ainsi l’appeler, Un crime qu’on nous a porté à commettre.

Avec la complicité de tes fils, Tu en as déjà beaucoup et même trop paye,
Mais hélas, ces rapaces, ces vampires Ils sont très loin de se contenter de la gifle De la dette de l’indépendance.

Mais bon sang, on ne doit plus rien,
Jusqu'a quand continuerons-nous a payer On a déjà tout donne, et ce, en maintes occasions : Or, argent, nos sueurs, nos sangs, Notre vigueur, nos joies, nous pleurs, Notre fierté, notre avenir.

Maintenant, il ne nous reste presque plus rien, On nous a presque tout ravis,
Tout est à reconstruire.

On n’est même plus capable de penser,
De rêver, de nous organiser, de nous planifier.

On ne peut même plus se permettre de projeter, Au cas où l’on ose le faire, On n’a même pas la garantie du court terme.

Le monde change, la technologie
Plus que jamais est a l’honneur Et on s’accroche encore a nos pratiques archaïques et empiriques Nous progressons en fait a reculons,
Puisque l’existence en soit est un cycle, Et ne favorise donc rien de nouveau,
Je suis donc plus que convaincu, Un de ces jours, même après des milliards d’années, On se rencontrera à nouveau au carrefour oblige de l’histoire,
Et la on repartira de la case de départ, On n’aura plus besoin de messie, ni de sauveur, Chacun prendra en main non seulement son destin Mais également celui de la nation tout entière.

Anime de l’esprit de Dessalines on ne réécrira pas l’histoire Mais on lui ajoutera ses pages manquantes, Celle qu’on lui a arrachées et cachées, Celles qui mettront a jour la nette et claire vérité,
Celles qui réellement nous feront savoir Pourquoi existe-t-il des pays pauvres et des pays riches, Des pays développes et des pays sous-développés,
Ainsi que des multimillionnaires Et des gens vivant au seuil de la proprette.

L’ennemi commun il est la, Il mange et boit avec nous, Il se fait passer pour notre ami, Et ainsi se déguise en ange de lumière,
Alors que c’est le diable en personne, Voulant voler notre âme. Ne lui facilitons plus la tache, Ne nous laissons pas faire.

Démasquons-le, avilissons-le, Mettons-le a criée publique, Qu’il ne nous trompe plus !

Pour cela, Djibouti, mon pays, Djibouti, ma patrie, Djibouti, ma nostalgie,
Que jamais tu ne l’oublie, On ne t’a jamais fait de cadeau,
Rappelle-toi bien que dans les Luttes Tu as vu le jour, Dans les Luttes tu as grandi Au prix de Luttes tu existes encore, Non pas ces petites luttes de classes, Ces petites luttes mesquines pour le pouvoir, Ces luttes sans merci pour l’argent, Mais de vraies Luttes, Celle a travers lesquelles en conséquence
A tes maux, tu trouveras une solution durable Afin que tu sois un : Hommage digne de nos ancêtres Amour de tout un peuple couchitiques qui ne peut être en élégie convertie Terre qui, de liberté ne se rassasie Il n’y a pas mieux dans ce monde, Djibouti.

Oui !

Il n’y a pas dans ce monde Un meilleur lieu que toi
Mon pays, ma patrie, ma nostalgie Mon Djibouti chérie.

Comment vivre loin de ton soleil Qui passe très rarement un jour Sans au moins nous cligner de l’œil,
Loin de ta lune Qui comme l’abeille dans nos champs butine, Loin de ton ciel
Qui parsème nos cœurs d’étoiles d’amour, Loin de ton Arc-en-ciel A nul autre pareil, Loin de tes montagnes hautes de dignité D’hospitalité, d’amour, d’indulgence De laboriosité, de charité, d’altruisme, d’humanisme;
Loin des méandres de tes ruisseaux, de tes cours d’eau. C’est avec joie, amour et fierté Qu’aujourd’hui je m’incline à te chanter Mon amour, ma folie ; ma nostalgie En te disant :"vive Djibouti"
Khaliffa Mikahil.

Sunday 28 November 2010

The future of change in Djibouti impossible!

The future of change in Djibouti impossible!
The infamous discourse of I.O.G, the current president of Djibouti, at the occasion of the Muslim Aid Al Adha, reflected, by and large, the crux of the matter about the mounting speculations of his intended life presidency in the country. To begin with, the man began his speech hesitantly willing to appear as to being coerced to raise the question of the upcoming presidential elections by just circumstances; and that he’d prefer to talk about that at the right time, meaning, April next year, or precisely, the same very month that the elections are due to be held in the country! But, he was apparently in a composed nature of mood, slightly nervous, and sure of what he was about to say. I’d hereby deliberately allow myself to ignore the flagrant self-flattering by saying ‘the people would tell who’s generous (Deeqsi!), and that the people would have the chance among different candidates with varying political agenda’s!’ ,because it was merely a notorious maneuver to intimidate an already beleaguered opposition and lame appeal to delude the people once again. And because these kinds of talks bear no significant impact on the mainstream political course, but rather are campaign-related releases to convey certain messages to the concerned parties, mainly the people and political opponents.
Coming back to the point, in his speech he avoided to address the issue of modifying the constitution in the favor of numerous presidential terms or even infinite one that he recently contrived; and if these modifications would be presented to the people as a referendum or not, as was the case in the first ever revision and alteration of the constitution, which is actually the country’s makeshift constitution prior to the independence, in 1992. This simply means that IOG, after successfully distancing any possible contender to his iron rule, he just dispensed with the people also! There is no choice left for these people anymore, it’s more like a matter of public obedience that’s expected, and that’s a blatant behavioral symptom of a dictator in the making!
Second, the modification itself was a major controversial topic in the first place, and to my opinion, it was not democratic if not unconstitutional altogether. In a democratic process, such kind of important moves like modification of a constitution, normally things evolve gradually from a base of commonly shared viewpoints to the inevitable need of doing it, and these procedures consume considerable period of time. Public awareness is a conditional prerequisite that could never be ignored. Anyhow, IOG dared to challenge all these and is opting for the impregnable posture mainly attributed to reckless depots unfortunately.
Third the timing of the discourse was accurately synchronized, it  came shortly after an alleged RTD antenna is launched in Ottawa, Canada, a move that embittered the opposition and pushed some of them to imprudently handle the matter, and of course, shortly before a planned meeting of the opposition in London. The signal to the first incident was that despite the opposition’s mounting presence abroad, their sporadic resistance to any governmental project of this caliber wouldn’t necessarily spare them the humiliation. And to the second, it was obviously a strongly worded challenge to their very cause of change and democracy in the country.
Finally, the reigning political atmosphere and the forthcoming murky clouds of uncertainty are both discouraging and the already negliged, impoverished and disadvantaged populations of this tiny African mini-state are the sad losers of this endless cycle of political instability starred by ruthless demagogues with discrepant political programs!
Nabad iyo Caano.

Friday 26 November 2010

Le peuple malchanceux de Djibouti.

''Le rêve de tous les chats est un rat!''=''Le rêve de tous nos démagogues,ancien ou nouveau,c'est la chaise(à Djibouti,nous avons des fauteuils!) du vizir!''Normalement quand on parle d'un vizir on l'a attribue pas une 'chais' mais un 'fauteuil' qui est conforme à son prestige,mais j'ai utilisé le mot 'chaise' au lieu d'un 'fauteuil' parce que à Djibouti,nous avons des vizirs,mais rien qu'on peut comparer à un 'fauteuil' malheureusement!Ce que je veux dire ici c'est que Djibouti,un tel petit pays de 23.200km² de superficie,moins de un million d'habitants,qui n'a pas des ressources naturelle connus,au moins jusqu'à maintenant,qui compte sur l'aide mondiale pour le plus grand parti de son revenu nationale,et ironiquement,dans lequel on voit un chômeurs ou simple employé une fois député,ministre ou directeur qui deviens d'un seul coup un vizir avec un palais,voitures durs(SUV,HUMMER blindé etc) et se comporte comme un vrai vizir!
Le système politique de Djibouti est malade dans son ensemble,et quand un système politique est malade,on le change intégralement,on modifie pas une constitution de temps à l'autre à la faveur d'un despote et on demande pas d'alternance au pouvoir d'un système qui est déjà malade. Sinon, ce qu'on voit maintenant,c'est une pièce théâtrale des démagogues sans scrupule à la dépense du peuple Djiboutiens!
Déjà désavantageux,défavorisé,marginalisé,ignoré et négligé,la détresse du peuple Djiboutiens se détériore du jour à jour dans tout l'aspect de la vie quotidienne,et personne de nos politiciens démagogique au mille programmes superficiels s'intéresse de cette réalité pire!Et le pays souffre de la mal gouvernance étendue,de la népotisme très répandue,de la polarisation politique,négligence sociale, désorientation culturelle,corruption omniprésent dans le secteur économique et financière,des service sanitaire dépassée et inefficace et l'infrastructure quasiment détruit et sous-développée.
Les prix tout alimentations de base ainsi que des autres utilités nécessaire,l'électricité,l'eau quadruplé,et l'accessibilité informatique presque impossible pour tout le monde,et surtout dans les 12 dernières années de la règne dictatoriale,autoritaire et état policière de despote IOG!La situation est asphyxiante plus que jamais et le peuple vie dans un prison au ciel ouverte,et je me demande souvent du quel développement lente,progresse en vue et un avenir meilleur sous la présidence à vie d'IOG parlent-ils les sympathisants de cet homme?
De l'autre côté de cet portait sinistre de cet dépotoir Africain,il se trouve un autre portrait plus effroyable que le précèdent,c'est celui d'une opposition réactionnaire et passif qui se batte entre elle-même et sporadiquement contre les vieux vizirs,pour la famée 'chaise' de vizir. Fragile,incohérent,divisé et malmené,l'opposition manque de l'idéologie politique,stratégie,priorité,discipline et la moralité patriotique et démocratique malgré sa diligence incessante de nous envisager autrement. Cette catégorie du 'chats' maigrit par leur avidité de reconquérir la 'chais' plutôt imaginaire que réel est entouré par des escrocs,charlatans,politiciens amateurs,piètre orateurs et une foule aveugle et naïve,familièrement connu comme de 'militants' qui est plus au moins des perroquets domestiqué que des sympathisants obstinés qui savent ce qu'ils font.
Nabad iyo Caano.

Le peuple malchanceux de Djibouti.

''Le rêve de tous les chats est un rat!''=''Le rêve de tous nos démagogues, ancien ou nouveau, c’est la chaise (à Djibouti, nous n’avons pas  des fauteuils!) du vizir!''Normalement quand on parle d'un vizir on l'a attribue pas une 'chais' mais un 'fauteuil' qui est conforme à son prestige, mais j'ai utilisé le mot 'chaise' au lieu d'un 'fauteuil' parce que à Djibouti, nous avons des vizirs, mais rien qu'on peut comparer à un 'fauteuil' malheureusement! Ce que je veux dire ici c'est que Djibouti, un tel petit pays de 23.200km² de superficie, moins de un million d'habitants, qui n'a pas des ressources naturelle connus, au moins jusqu'à maintenant, qui compte sur l'aide mondiale pour le plus grand parti de son revenu nationale, et ironiquement, dans lequel on voit un chômeurs ou simple employé une fois député, ministre ou directeur qui deviens d'un seul coup un vizir avec un palais, voitures durs(SUV,HUMMER blindé etc.) et se comporte comme un vrai vizir!
Le système politique de Djibouti est malade dans son ensemble, et quand un système politique est malade, on le change intégralement, on ne modifie pas une constitution de temps à l'autre à la faveur d'un despote et on ne demande pas d'alternance au pouvoir d'un système qui est déjà malade. Sinon, ce qu'on voit maintenant, c’est une pièce théâtrale des démagogues sans scrupule à la dépense du peuple Djiboutiens!
Déjà désavantageux, défavorisé, marginalisé, ignoré et négligé, la détresse du peuple Djiboutiens se détériore du jour à jour dans tout l'aspect de la vie quotidienne, et personne de nos politiciens démagogique aux mille programmes superficiels ne s’intéresse de cette réalité pire! Et le pays souffre de la mal gouvernance étendue, de la népotisme très répandue, de la polarisation politique, négligence sociale, désorientation culturelle, corruption omniprésent dans le secteur économique et financière, des service sanitaire dépassée et inefficace et l'infrastructure quasiment détruit et sous-développée.
Les prix tout alimentations de base ainsi que des autres utilités nécessaire, l’électricité, l’eau quadruplé, et l'accessibilité informatique presque impossible pour tout le monde, et surtout dans les 12 dernières années de la règne dictatoriale, autoritaire et état policière de despote IOG! La situation est asphyxiante plus que jamais et le peuple vie dans une prison au ciel ouverte, et je me demande souvent du quel développement lente, progresse en vue et un avenir meilleur sous la présidence à vie d'IOG parlent-ils les sympathisants de cet homme?
De l'autre côté de cet portait sinistre de cet dépotoir Africain, il se trouve un autre portrait plus effroyable que le précèdent, c’est celui d'une opposition réactionnaire et passif qui se batte entre elle-même et sporadiquement contre les vieux vizirs, pour la famée 'chaise' de vizir. Fragile, incohérent, divisé et malmené, l’opposition manque de l'idéologie politique, stratégie, priorité, discipline et la moralité patriotique et démocratique malgré sa diligence incessante de nous envisager autrement. Cette catégorie du 'chats' maigrit par leur avidité de reconquérir la 'chais' plutôt imaginaire que réel est entouré par des escrocs, charlatans, politiciens amateurs, piètre orateurs et une foule aveugle et naïve, familièrement connu comme de 'militants' qui est plus au moins des perroquets domestiqué que des sympathisants obstinés qui savent ce qu'ils font.
Nabad iyo Caano.

Wednesday 17 November 2010

Le mélodrame hystérique autour de l'antenne du RTD à Ottawa.


Sachant que la quiétude est parfois une signe de sagesse, j'ai résisté de commenter sur ce sujet aussi particulier de son genre, mais à la dernière minute, j'ai décidé d'éteindre la curiosité de certains amis avare de savoir mon point de vue. Même si je ne vois pas jusqu'ici qu’il n’y a pas beaucoup à dire dans cet état de saleté dont on s'y trouve, j'essayerai par conséquent de partager avec vous ceci.
Premièrement, le gouvernement Djiboutien, étant un état membre et reconnu de l'ONU, a tous les droit d'avoir des relations bilatérales sur tous les domaines, y compris médiatique, avec tous les pays membres, dont le Canada. Les ressortissants Djiboutiens, quelque soit leurs différences d'appartenance ethnique, préférence idéologique, affiliation politique, exilés de l'injustice étatique ou aventuriers de 'Gold Rush' à la Canadienne, ne pourront pas influencer cette course à leur faveur malheureusement. Alors, tous les lobbys sentimentaux de la part d'une soi-disant opposition en désarroi, anarchique, marginalisée, inefficace et non-démocratique systématiquement, ne leurs fourniront que des échecs très certainement plus terrible que ce qu'ils ont endurés à Djibouti.

Deuxièmement, les organisateurs et les participants de la diaspora qui assistaient à la cérémonie d'inauguration, sont eux-mêmes des Canadiens, peu importe leur origines présumées, qui ont le droit d'aller, travailler et participer à des évènements quand sa leur plait.

Dans un éventuel engagement légal, le groupe organisateur a toutes avantages sur les parrains de la haine et de la zizanie, parce que leurs actions étant médiocres, pathétiques et provocatrices voire filmées et diffusées dans tous les réseaux sociaux du monde.

Troisièmement, assez étrangement, malgré les milliers de conseils de la part de concitoyens dignes de dénoncer et en effet, pour ne pas répéter dans le futur de telles choses, ces derniers sont plutôt reçus froidement par les conspirateurs des insultes et intimidations verbales que toute une tribu a vécu auprès des militants fasciste. 'HABAR DHALI WAYDAY, ALEELO KU WAALATAY' disent nos compatriotes à Djibouti.
Ils n'ont pas d'autres moyens pour s'exprimer politiquement et grâce à la propagande prédictive, prématurée et contre-productive de la soi-disant opposition Djiboutienne, la RPP a jusqu'à nos jours réussit d'avoir effectivement concrétisé naturellement au détriment du peuple, ce que l'opposition prévoyait.
IOG, se comporte comme le fou qui avait le feu dans la main et tout le monde lui hurla 'attention' pendant ce temps en souriant il commençait à mettre le feu à la légère tente et leur répondit 'Vous m'avez bien rappelé ça'. Il fait justement ce qu'ils propagent et il va bientôt émettre des convocations de leurs arrestation au sein de l'interpole, laisse tomber d'ouvrir des annexes et antenne à l'étranger! Tant pis pour eux, car ceux sont plus au moins, des prototypes de leurs adversaire et même plus pire, parce que IOG et CO; se justifient autant que parole et de faits, quand ce groupe de charlatans, démagogues et politiciens amateurs nous avaient dégoûtés par leur manque d'incohérence, manque de programme politique fiable, ambiguïté de cause, intolérance d'autrui, contradiction des discours, anarchie et tromperie manifeste!

Quatrièmement, au lieu d'attaquer, stéréotyper et lyncher ceux d'entre nous qui s'engagent dans des initiatives nobles, comme Djibouti Orphans, on doit les encourager et aider afin qu'ils réussissent dans leurs lourdes tâches. Sinon, ca sera justement comme on dit populairement 'BAQALI MA DHASHO, WAX DHALANA MA JECLA', pour ne pas qualifier le comportement de ceux qui ont menés cette minable chasse au mirage rien d'autre que du RIDICULE.

Finalement, l'opposition ou au moins ceux qui revendique ce nom au Canada, ont déraillé volontairement leur cause (s'il y en avait une!) et le dégât est absolument irréversible. Se consoler autrement, comme se vanter 'la victoire à la belge' par exemple est une chose, confronter la pire réalité en est totalement une autre.
Nabad iyo Caano.

Le mélodrame hystérique autour de l'antenne du RTD à Ottawa.

Sachant que la quiétude est parfois une signe de sagesse,j'ai résisté de commenter sur ce sujet aussi particulier de son genre,mais à la dernière minute ,j'ai décidé d'éteindre la curiosité de certains amis avare de savoir mon point de vu. Même si je vois pas jusqu'ici qu'il y a pas beaucoup à dire dans cette état de saleté dont on s'y trouve,j'essayerai par conséquent partager avec vous ceci.
Premièrement,le gouvernement Djiboutinne,une état membre et reconnu de l'ONU,a tous les droit de faire de relation bilatérale sur tous les domaines,y compris médiatique,avec tous les pays membre,dont Canada est l'une d'entre eux. Les ressortissants Djiboutiens,quelque soit leurs différence d'appartenance ethnique,préférence idéologique,affiliation politique,exilés de l'injustice étatique ou aventuriers de 'Gold Rush' à la Canadienne,pourrons pas influencer cette course à leur faveur,malheureusement. Alors,tous le lobby sentimentale de la part d'une soi-disant opposition en désarroi,anarchique,marginalisé,inefficace et non-démocratique systématiquement,ne leurs fourniront pas que des échecs très certainement plus terrible que ce qu'ils ont endurés en Djibouti,si ça c'est vrai en premier lieu!Deuxièmement,les organisateurs et les participants de la diaspora qui assistaient à la cérémonie d'inauguration,sont eux-mêmes des Canadiens,peu importe leur origines présumés,qui ont le droit d'aller,travailler et participer des événements n'importe ou et la façon dont qui leur plaisent. Dans une engagement légale éventuelle,le groupe organisateurs ont toutes avantages sur les parrains de la haine et la zizanie,parce que leurs actions médiocre,pathétique et provocatrices sont filmés et propagés dans tous les réseaux sociaux du monde par eux-mêmes!Troisièmement,assez étrangement,malgré les milliers de conseilles de la part de concitoyens dignes de dénoncer et en effet,se distancer dans le futur de recourir à des truc minable pareil,sont plutôt reçus froidement par les conspirateurs des insultes et intimidations verbale que toute une tribu a vécu auprès des militants fasciste.'HABAR DHALI WAYDAY,ALEELO KU WAALATAY' dissent nos compatriotes en Djibouti. Ils n'ont pas des autres moyens de s'exprimer politiquement et grâce à la propagande prédictive,prématurée et contre-productive de soi-disant l'opposition Djiboutien,la RPP a jusqu'à nos jours réussit d'avoir effectivement concrétiser,naturellement au détriment de le peuple,ce que l'opposition prévoyait!IOG,juste comme le fou qui les gens ont vus d'avoir le feu dans le main et tous le monde hurla 'attention' et lui en souriant,commençait à mettre le feu à la tente légère et leur répondit 'Vous m'avez bien rappeler ça!' il fait justement ce qu'ils propagent et il va bientôt émettre des convocations de leurs arrestation au sein de l'interpole,laisse tomber d'ouvrir des annexes et antenne à l'étranger!Tant pis pour eux,ces sont, plus au moins, des prototypes de leurs adversaire et même plus pire,parce que IOG et CO; se justifient autant que parole et de faits,quand cet groupe de charlatans,démagogue et politiciens amateurs nous avaient dégoûtés par leur incohérence de soi,manque de programme politique viable,ambigüité de cause,intolérance d'autrui,contradiction des discours,anarchie et tromperie manifeste!Quatrièmement,au lieu d'attaquer,stéréotyper et lyncher ceux d'entre nous qui s'engage dans des initiatives nobles,comme Djibouti Orphans,on doit leur encourager et aider afin qu'ils russiseront dans leurs taches. Sinon,sa sera justement comme on dit populairement 'BAQALI MA DHASHO,WAX DHALANA MA JECLA',et on peut pas qualifier la comportement de ceux qui ont menés cette minable chase a la mirage.
Finalement,l'opposition,ou au moins ceux qui revendique cette nom au Canada,ont déraillé volontairement leur cause(s'il y en avait une!)et les dégâts est absolument irréversible. Se consoler autrement,comme vanter 'la victoire à la belge' par exemple,est une chose,confronter la pire réalité est totalement une autre.
Nabad iyo Caano.

Tuesday 9 November 2010

SOMALI GALBEED: DULMIGII ITOOBIYA EE SHALAY IYO DAMACA OROMO EE KU QABSO KU QADIMAYSIDE!BY XUSEEN HABANE DIRIYE

Hordhac
Dadka Oromada iyo Soomaalidu waxa ka dhexeeya daris wanaag iyo istixgelin. Waxa labada shacbi wadaagaan diin iyo dhaqan  isku ah bahwaynta kushitiiga soo taxnaa muddo dheer, marka laga reebo Oromada gobolada galbeedka iyo Galla Shawa. Labada qowmiyadood waxa kale oo waayo-arag buuxa ay u wada yihiin cadaadiskii iyo curyaamintii dhinacwalba lahayd ee ay u geysteen xukumadihii cadaalad darrada ku dhisnaa ee mudadda dheer ka talinayey dalka Itoobiya.
Menelik II oo aanan qarsan rabitaankiisii ahaa in uu qayb libaax ka helo boobkii reer Yurub ee qaaradda Afrika, wuxuu cagta mariyey ummado badan oo ay Soomalidu ka mid tahay. Menelik waxa uu gacan buuxda uga helay qorshahiisii dulmiga ku dhisnaa gumeystayaashii reer Yurub, waana arrinta u suurto gelisay in uu gumeeyo ummadihii ku noolaa dhulka maanta loo yaqaano Itoobiya. Magacaas oo sidaa maanta ku hirgalay.
Boqor Xayle Selaase oo isaguna boobay kursiga boqotooyadii Itoobiya wuxuu dhamaystiray riyadii Menelik II ee uu ku doonayay dhul balaadhsiga iyo dulmiga ummaddaha mandaqada ku dhaqan. Xayle Selaase waxa uu ku guulaystay hanashada Eretariya, qaybo kale oo ka mid ah dhulka Somalida, Canfarta, Oromada iyo kuwo kale.
  Xannuunka Xilliyadii Labada Xayle
Si aad uga qaadato sawir buuxa xukuumaddii boqortooyada ee Xayle iyo cadaadiskii iyo xasuuqii ay ku haysay ummaddaha ay gumaysato, waxa kaaga filan in aad ogaato ama xasuusato dilkii waxashnimada ahaa ee uu ka sameeyey magaalada Jigjiga 1957 kii. Markaas oo uu ku daldalay 7 nin oo beesha Geri Koombe ka tirsan badhtamaha magaalada. Halkaas oo uu meydkoodu ka lushay muddo toddobaad ah faras magaalaha Jigjiga, yaaley oo weliba loo diiday ehelkoodu in ay aastaan (fiirso maqaalka Xuseen Ali Bulxan ee “The Physchology of the Partition of Somaliland , Journal of Horn of Africa, 1978).
Dhacdooyinka kale ee lama ilaawaanka ah waxa ka mid gubiddii Banka Daalaymaleh  (hadhagaalah) 1952, xasuuqii Eerer goteh (Genaral geeta)gubiddii Eeshaca ee horaantii lixdankii iyo meelo kale oo badan. o dhulka somaliyed ,Arrimahan iyo kuwo la mid ahi waxa ay ka dhacayeen isla jiidaas degaanada Oromada (sida dagaaladii jalanqo), Tigray (duuqayntii maqaleh), Cafar, Eretariya, iwm.
Ummaddihii dulmanaa waxay xoojiyeen halgankii ay ugu jireen in ay ka xoroobaan caddaadiska iyo gumeysiga boqortooyadii guunka ahayd ee Xayle, horaantii 1970 aadkii. Waxa ay dhaqdhaqaaqyadaasi isugu jireen kuwo hubeysan iyo siyaasadeed oo ay door laxaadle ka qaateen ardayda dugsiyada sare iyo kuwa Jaamacaha ee reer Itoobiya.
Kacdoonadani waxay gilgileen jirridihii xukuumadii duugga ahayd, nasiibdarrose waxa guushii shucuubta dulman afka u dhigtay koox askar ah oo uu hormood ka ahaa gacan-ku-dhiigle colonel Mengistu Xayle Maryam. Askartu ma ay laalin kaliya himiladii iyo hagankii dheeraa ee shucuubtii loolanka adag soo gashay, balse waxay ku talaabsatay in dalka ay ku dhaqaan nidaam ku dhisan argagixisnimo (red terror). Waxa ay iska indho tireen su'aashii saldhiga u ahayd hagankii dadweynaha oo ahayd: Aaya-ka-tashiga qaramada iyo qawmiyadaha xoogga lagu haystay.
Mengistu iyo kooxdiisii codsigii xaqa aaya ka talinta ee qawmiyadihii la caddaadin jiray waxay kaga jawaabeen dagaal iyo xasuuqid ka sii daran tii lagu yaqaanay boqoradii ka horeeyey, wuxuuna fadhiistay qasrigii Xayle, iyadoo lagu naaneysay Boqorkii casaa (Red Emperor).
Itoobiyada Cusub
Sida ku cad taariikhda halganka xaqa ah waxaa hubaal ah in caddaadis iyo cubudhin aan lagu damin karayn dhaqdhaqaaqyada xaq-u-dirirka ah ee sii xoogeystay iyadoo ay horseed u ahaayeen jabhadihii Eretariya (EPLF), Tigray (TLF), Somalida (WSLF), Oromada (OLF) iyo kuwa kale. Waxaan muran ku jirin in loo dhammaa dagaalkii lagu jabiyey dhagar-qabe Mengistu iyo kooxdiisii halkaana ay ka soo muuqatay rajo cusub. Itoobiyada cusub waxaa hogaanka u qabtay isbaheysiga loo yaqaan EPRDF sannadkii 1992. Kuwaas oo ugu baaqay qaramada iyo qawmiyadaha kala duwan ee ku dhaqan Itoobiya in ay ka soo qayb galaan shirweynihii lagu jeexayey Cahdi-Qarameedkii Koowaad ee lagu dhisay Jumhuuriyada Dimuqraadiga Federaalka Itoobiya.
Waxay ahayd arrin taariikhda gashay in markii ugu horeysay wax laga weydiiyo ugu yaraan siyaasiyiin ka tirsan dadyowgii dulmanaa oo ay Somalidu ka midka ahayd talada dhulkooda, iyadoo dastuurka Itoobiyana si cad loogu damaanad qaaday xaqa aaya katalinta shucuubta iyo ilaalinta xuquuda dawladnimo iyo dhul ee ummad kasta leedahay.
Haddaba tan iyo intii uu isbedelku ka dhacay dalka Itoobiya waxaa soo shaac baxay damac dhul ballaaadhsi oo qawmiyadaha qaarkood kula kaceen kuwii la deriska ahaa. Dhul ballaadhsiga Oromada ee ku wajahan dhinaca Ismaamulka Soomaalida ayaa tusaale cad inooga noqon kara arintaas aan kor ku soo sheegnay Si aan haddaba wax badan uga ogaano damaca Oromada ayaa waxaa haboon inaan si gaara uga hadalno qodobada soo socda:-
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1_Magaalada Diridhabe

Diridhabe waa magaalo magaceedu yahay Qaddiim waxayna kamid ahayd magaalooyinkii ugu horeeyey ee la dagay qarnigii 18 dhamaadkiis waxayna taariikhda gobolka geska afrika  ka soo kasha  meel muhiim ah.
waxay ka mid tahay meeli ilbaxnimo kasoo kashay delka itoobiya waan magaalooyinka aasaasmay markii la dhisayey khadka tareenka ee xidhiidhiya Jabuuti iyo Addis Ababa magaaladu waxay ku taal meel malko ah oo aad ugu dhaw Jabuuti oo ka xigta dhinaca woqooyibari.unau jirtaa ( 317km)Dhinaca bari waxa kaga toosan magaalada barbera oy labad magaloba  ay yihiin marsooyin calamiyah qiyas iskumidana u jiran waadna darim kartaa daal bilaa xeeb ah ahmiyad aay u ku fadhidoo magalad noocasi ,sidaa awgeed itoobiya waxaay u argtaa  maslaxada wadankeed iyo danaha mustaqbalka ee shucubata itoobiya o dhan  
waxa ay noqotay diridhabe meel ay ku kulmaan safarrada ka kala yimaadda jabuuti barbera , Saylac iyo AdisAba intaa waxa u dheeraa tareenka oo habeen iyo maalinba isweydaaranaya.iyo gawadhida isjidaka ee dabuulaysa ganacsiga jabuuti iyo itoobiya ka dhaxeeya Intaas oo
dhan baa waxaay Diridhabe  ka dhigtay casimad ganacsiga Itoobiya iyo casimad labad ee dalwaynha itoobiya.
Diridhabe waxay ku fadhida dhul baxadisuu laegyahay 128802km2

waxaan ku nool daad gadhaya 500.000 qof tiragoobki uu danbeyay 
 ayaa 68% waxaa ay degenyihiin Magaaalo halka 32% ay degenyihiin miyiga , magaalada ayaa waxaa hoos yimaada 9 degmo oo Magaalada ah iyo 38 tuulo oo miyiga ah dadka ku dhaqan miyiga ayaa waxaa ay  yihiin Soomaali dhamaanto sidaa awged ayaa loku suntay magaca labada beelod ee soomaaliyed (degaanka ciisaha iyo gurguuraha) waana daadka deegaanka
Maxaa Oromadu u rabtaa magalad Diridhabe?
Waxaan cidna ka qarsoonayn in si isdaba joog ah dhulka Soomaalida loogu wareejinayey qawmiyada Oromada. Arrintan oo ah shirqool halis ah ayaa abuuri karta iska horimaad dhexmara shucuubta walaalaha ah ee nabadda ku wada noolaa qarniyada. Arrintan waxa la odhan karaa waxaa ka dambeeya kooxaha Oromada ee degaanada galbeedka Itoobiya iyo kuwa  (Gala Showa).
Kooxahan oo dhaqan ahaan iyo degaanba aan waxba la wadaagin Soomaalida ayaa raba in ay ka faa'iideystaan fursad uga muuqata deegaanka Soomaalida. Taas oo la mid ah tii uu Menilik haystay dabayaaqadii qarnigii sagaal iyo tobnaad ee uu ku boobay dhulalkii qawmiyadaha kale!. Si loo hirgeliyo mashruucan boobka qaawan ku dhisan ayaa waxaa la adeegsanayaa xeelado kale duwan sida afti ku sheeg been ah iyo wax la mid ah.
damac qaawan eeOromadu u rabtaa magalad Diridhabe waxaan ku soo ururin qodobadaad soo socda 
istratijiyad diridhabe

 a. waxay tahay magalada  isku xidha itoobiyda bilaa baada iyo wadamaa jarka ah ee baad leh
 
 b. waxay ledahay dhabadaa xadiidka ah ee isku xidha jabuuti iyo AdisAbaba

 c. waxay ledahay dariqa isfaltiga(laamika ah) ee isku xidha Jabuuti  iyo AdisAbaba

 d. Magaaladu waxay leedahay Airport Caalami ah ( Dire dawa international Airprt oo habeen iyo maalinba shaqeeya.


 e.
Diri dhaba waa magaalo Ganacsi oo u isku xidha ganacsga Jaabuuti iyo Ethiopia , sidaan soo shegay horayba  waxaa kale oo Magaaladu ay leedahay saylad weyn oo xoolaha lagu kala iibsado.
Magaalada ayaa waxaa ku yaala 145 hoteel oo yar yar ah iyo 6 hoteel oo ah kuwa waaweyn oo ay ka mid yihiin Samrat Hotel, Selam Hotel, Karamardha Hotel iyo kuwa kale. 



 DHANKA WARSHADAHA 


 
Magaalaada waxaa ku yaala Warshado fara badan oo qaarna ay iminka shaqeeyaan halka kuwa kalana ay dhismihii ku socoto.
Kuwa hadda shaqeeya waxaa ka mid ah:

4 Warshadood oo sibidhka ah iyo iyo 6 warshadood oo baastada sameeya iyo 2 Warshadood oo biyaha Nadiifta ah soo saara. Iyo 6 warshadood oo samaysa Daqiiqa.


DHANKA WAXBARASHADA


Magaaladu waxay leedahay hal Jaamacad ( Dire dawa university ) iyo 199 Dugsi hoose Dhexe ah iyo 15 Dugsiyo Sare ah dugsiyadaa sare 8 kamid ah waxaa Maamula Dowladda halka 7 ka mid ah ay yihiin private.



DHINACA CAAFIMAADKA.
 

Magaaladu waxay leedahay hal isbitaal oo Dowladda ay maamusho iyo 3 isbitaal oo privete ah iyadoo tuulooyinka hoos yimaada ee 38da tuula mid kasta ay leedahay Xarun caafimaad oo u gooni ah, waxaa kale oo jira Isbitaal weyn oo hadda dhismihiisa gacanta lagu hayo oo ay ku baxayso lacag fara badan.

2. Ma Somalida ayaa Oromo gumeysan jirtay oo dhul horey uga qabsatay oo ay maanta Oromo soo dhacsaneysaa?

Wax xaqiijinaya in Somaalidu qabsatay dhul Oromo leedahay majiro. Xataa maamuladii caddaadiska ku dhisnaa ee Itoobiya ka talin jiray waxay ummad walba ku xukumi jireen dhulkeeda. Waxaana jiray aqoonsi dhulka qawmiyad kastaa leedahay, mase huwaneyn awood siyaasadeed oo intaas dhaafsiisan.
Waxaad taas ka garan kartaa habkii maamulku u dhisnaa ee14ka waaxood. Waaxda Hararghe oo Dir Dhabe ku jirto marna lama hayo iyada oo muran gashay. Dir Dhabe waa dhul qawmiyadda Somalidu leedahay. Way jirtaa oo lama diidii karo in dadyar oo isir ahaan Oromo loo nisbeeyo meelaha qaarkood ka degan yihiin, hase yeeshee taasi kama duwana Soomalida tirada badan ee ku dhex jirta deegaanka Oromada.
Kooxaha saldhiga u ah qorshahan qaawani waxay kale yihiin OPDO oo xulufo la ah xukuumadda EPRDF, si xunna u adeegsanaysa awoodda siyaasadeed ee ay ka heshay maamulka federaaliga ah ee dalka Itoobiya. Kooxda labaad waa OLF oo ay isku ujeedo yihiin balse xeeladaha ay isku maandhaafsan yihiin. Dad badan baa aaminsan in ay yihiinba hal jabhad oo siyaasad isku qaybisay si markaas ay u helaan xogta gudaha. Waxa kale oo lagu tilmaami karaa laba garab oo ah mid hubeysan (OLF) iyo mid siyaasadeed (OPDO) ujeedooduna tahay in Oromo muquuniso ummaddaha kale (Oromo dominance over others). Maangaabyada aragtidan ku dheggani waa in ay bartaan taariikhda siyaasadeed ee Mandaqada Itoobiya, si ay uga waantoobaan damacoogan waalida ku dhisan.
3. Dhulka iyo dadka Somalida Itoobiya mayaanay haysan damaanad qaabka dastuurka federaliga ah?
Ummadda Somalidu iyada oo ka mid ah Golaha Federaaliga ee Itoobiya waxay weli qabaan in Jaartarka iyo Dastuurka dalku ay si buuxda u ballan qaadeen ilaalinta dhulkooda iyo xuquuqdooda dawladnimo labadaba. Cahdigan dastuuriga ahi waxa uu ka hor imanayaa ficilada dhacaya ee horey loogu boobay dhulka Somalida, sida Dir Dhabe, iyo meelo kale, maantana 390 degmo oo hor leh (kebles) lagu maagan yahay in Oromo loogu gacan geliyo.
Dadka u dhashay degaankani meel ay joogaanba waxa ay isha ku hayaan talaabada ay qaaddo xukuumada Ra'iisal Wasaare Meles Zanawi . Taa oo ah in ay difaacdo dastuurka dalka u yaal ee lagu aaminay, xakameysona damaca cad ee Oromada. Haddii arrintaa ay indhaha ka qarsato iyada oo dano siyaasadeed oo gaaban xeerineysa waxa halkaas ku lumi doona mar kale himiladii ummaddaha la cadaadin jirey ee Itoobiya, gaar ahaan qawmiyada Soomaalida ee Itoobiya. Waxa kale oo arrintan ka dhalan kara xasilooni darro siyaasadeed oo abuuri karta iska hormaaad, siina murgin karta dhibaatooyinka dabiiciga ah ee dalkan ka jirey muddada dheer.
Dawlada dhexe waxa xil dastuuri ahi ka saaran yahay ilaalinta xuquuqda xuduudda dhul ee Ismaamulka Somalida, haddii kale waxa daaqada laga tuuray dastuurkii salka u ahaa Itoobiyada cusub.
4. Ma dawlad la'aanta Ismaamulka Soomaalida iyo kala daadsanaantooda ayaa door ku leh?
Waxaan shaki ku jirin in Ismaamulka Somalida ee Itoobiya aanu marna noqon taabagal ama qaangaadh. Kaas oo yeesha awood siyaasadeed oo uu isku taagi karo kuna matelo shacabka Somalida oo ku sugan dib-u-dhac bulsheed ee ay ka dhaxleen xukuumadihii hore. Sababaha curyaamiyey Ismaamulka waxaan ku soo koobi karnaa laba:
a) Dhaqanka shacbiga Somalida cudurka ku jira ee qabiilka ah ee lidka ku ah horukaca bulshada. Kaas oo wiiqay in ummaddani hesho hogaan aqoon iyo aragti qawmiyadnimo ku dhisan oo loolan siyaasadeed la gali kara qawmiyadaha kale waqtigan kala guurka ee Itoobiya maanta ku jirto.
b) Faragelin dhinaca dawladda federaaliga kaga timaada si toos ah ama si dadban oo culays aan gar ahayn had iyo goor saarta hogaanka xukuumadda ismaamulka.
Gunaanad:
Faragelintani waxay ka turjumeysaa daciifnimada dawladda Ismaamulka iyo labada Baarlamaan ee heer qawmiyadeed iyo mid feredaraalba oo ka gaabiyey xilkii loo doortay. Kaas oo ah difaaca dalkooda iyo dadkooda, iyada oo sharcigu u siiyey awood siyaasadeed oo ay ku diidi karaan wixii dulmi ah ee kaga yimaada dawladda dhexe ama qawmiyadaha kaleba.
Xaaladdani waxay keentay in si badheedh ah dhulkii ay masuulka ka ahaayeen maalinba qeyb Oromo u goosato. Wax tallaabo siyaasadeed ama sharci ah oo ay ka qaadeen midna lama hayo. Hase yeeshee ficil darradoodu kama tarjumeyso dareenka dadka Soomaalida ah ee ku dhaqan degaanka Ismaamulka. Kooxahan qayilaada iyo is dibindaabyeynta ku caanbaxay (“fiiri Maqaalkii Ismail A. Hassan “Somali Galbeed Dadkii iyo dalkii ayaanka darraa”) ma'aha kuwa u qalma hoggaanka shacbigan mudada badan cadaadiska iyo dib u dhaca ku jiray.
Afti ku sheeggii shirqoolka ahayd ee dhawaan laga qabtay dhulka Soomaalidu Kama duwana boobkii Menelik uu kula kacay qawmiyadihii kale, waana kuwa ka fog sharciga dalka u yaal. Somalidu waxay tidhaa “Hal xaaraan ahi nirig xalaal ah ma dhasho”, Sidaa daraadeed go'aan ku ansixinta boobkan ee golaha barlamaanku waxba Kama bedelayo xaqiiqada.
Ugu dambeystii shacabka Soomaali Galbeed waxaa la gudboon inay marxaladan ku wajahaan midnimo, meelna uga soo wada jeestaan cadawgooda. Waxa loo baahan yahay in ay dhinac isaga riixaan khilaaf kooda macnaradda ah ee ku dhisan qabiilka, lana xisaabtamaan kuwa hoggaanka u haya ee kaalintoodii gabay.

By: Xusen Habane Diriyeh

                                           Oslo Norway
                                          
habane44@hotmail.com

Sunday 31 October 2010

Salal is not no-man’s land and it isn’t certainly not for dowry.

As the Somali adage puts: ‘Baylah kugu raagtay,booli ayaa la moodaa’ which could roughly be translated as ‘An unlawful possession of lost item for a long time makes that item deemed as a bounty’, we hear nowadays the predictions of forthcoming ‘Awdalland’ which is meant to be ‘Salal’ and ‘Awdal’ put together. But, do the people of Salal agree to these unstudied adventures of their Awdalan in-laws? Did the Awdalans take for granted our circumstantial absence from the political arena of NW Somalia, or as some people prefer to call it, Somaliland? Isn’t it high time for Hargeisa to revise back its former policies towards Salal and its rightful owners, the Issas? Or do the Awdalans simply ignore that Salal is our ancestral land that we never relinquish anyway anytime? Or could it be because of their biased Herimaad mentality, they think we’ll forget Salal somehow? Let’s put these and many other questions under the microscope.
A  couple of months shortly after Silanyo’s election as the president of the self-proclaimed republic of Somaliland, internationally known as NW Somalia, we began witnessing an unprecedented mount in the voices of what our Herimaad in-laws’ call ‘Awdalland’ ,that this presumed land belongs to ‘Gadaboursi and Issa clans of Dir’ ‘the direct descendants of Adel dynasty’ and that although the inhabitants of this phony ‘Awdalland’ worked hard previously to preserve the unity of Somalia intact, despite the fact that the central government in Mogadishu neglected the region, and that later under coercion from the Issaq clan they succumbed to the ‘whims’ of presently so-called Somaliland! Therefore, they issued a declaration of ‘independence’ from Somalia first and then from the regional government of the so-called Somaliland.
To begin with, Salal and Awdal (shown clearly in the map below) are two separate districts of NW Somalia’s region that belongs to Issas and Gadaboursi clans respectively. After conspiring against the SNM liberation movement and collaborating with Siad Barre’s military forces, the Awdalans succeeded in banishing the rightful owners and inhabitants of Salal, the Issa clan, who were supporting SNM, not only logistically but by all means necessary, and thus occupied Salal, contriving again the unification of the two districts under the name Awdal, and under the banner of the so-called Somaliland. For the last two decades and especially after the death of Igal, which precipitated inter-Issaq clashes that in return have brought Dahir Rayale to the presidency of the region, we’ve never heard from Borame nothing other than lavish compliments to the democratic achievements of Hargeisa. Now that Rayale’s ousted we started hearing of oppression, injustice and coercion, inexplicably swift to the tame tone of Borama. But we, the proprietors of Salal, the Issa, have from the outset of the Somali ordeal firmly underlined our prerequisites to join hands with Hargeisa, conditions which could be summed up as such a) That Salal remains apart from any other district, including Awdal. b) That any eventual power-sharing agreement should be reached between all districts. c) That the right of every individual district and naturally every tribe must be constitutional, not merely unwritten inter-tribal consensus. d) That our refugee population in Holhol, Ali Adde, Assamo (Djibouti) and Dhagagoo, Harmuukaale and Dire Dawa (Ethiopia) return peacefully to their homeland. Apart from those proposals we’ve never had other problems with Hargeisa, and now that the short-lived honey moon with Borama seems to be waning, we steadfastly do the same. As another Somali proverb says: ’Gobi way liicdaa e, Ma jabto!’ which plainly means that ‘Decency bends but never breaks!’ the hand of  the descendants of Madobe Dir is spread to our brethren, the descendants of Mahe Dir to resolve our problems between us without outside intervention from anybody else, even if that happens to be our in-laws.
Second, we, the children of Salal, are not the descendants ‘Adel’ but rather the proud descendants of the well-known Madoobe,Dir, Irrir, Samaale Aji of Somali Gabar tribes, and we don’t subscribe ourselves to that prefabricated and illusive piece of history which you Awdalans change every now and then in accordance with your wishes.
Third, the most recent discontentment of the Awdalans triggered by the fact that Rayale vacated the presidency isn’t sufficient for us to wage an immoral verbal warfare against Hargeisa, which its people have endured so many plights until they’ve made the relatively secure and stable atmosphere they live in today, in contrast to the total chaos that reigns the Southern parts of Somalia, but instead we show our encouragement now as when they were fighting against the junta regime of Siad Barre. Also, that doesn’t mean that we’re satisfied how the question of Salal and its rightful owners was addressed so far, just because the Awdalans lost presidency but because Hargeisa seems to be heading to the right track!
Last not the least, any disintegration of Somalia and hence secession of the NW region would inevitably fall under the mandate of the UN and would be undeniably an arduous process that could consume much more time if taken into consideration in the first place, let alone the herald of an upcoming ‘‘Awdalland’!
Ultimately, once upon a time, when people used every conceivable healing material as medicine, a cleric (wadad) was asked to piss over the sick genitals of a female patient after all other men failed to do so because of the normal chemical arousal! He, like everyone else got aroused at the sight of the revered place and exclaimed ‘He who pisses on this place will be the only one to be called a real man!’The case of ‘Awdalizing’ Salal is its similitude, and needless to say, we never ever give in to the whims of our Herimaad in-laws however they try to seduce us, Salal isn’t for dowry!....Dhimbiil Dhamac Dhuxul.

Awdal "Republic": Declaration of Independence, [Somalia]

COPY OF AN OPEN LETTER TO THE SECRETARY GENERAL OF THE UNITED NATIONS:
AWDAL REPUBLIC
DECLARATION OF INDEPENDENCE

Proud to be the direct descendants of the Awdal (Adel) empire inhabitants, we are happy to announce that from now on we will revive our civilization and bring it back to the track from which it was derailed by the foreign forces.

The Awdal Republic that will soon emerge will be democratic, compassionate and civilized. Certaintly when we achieve our goal, gone will be the days when the Awdalians were the naked needles that sewed other people's clothes; gone will be the days when our destiny was in unfriendly hands and gone will be the days when we believed blindly in Somali nationalism.

We believe strongly that a nation is a nation when the basic right of every individual is guaranteed but when the state in whose bosom the individual is supposed to feel secure is turned into a clannish spear to tear the flesh of the former rival clans, then it becomes the responsibility of every group to protect its citizens. Awdalians are no exceptions.

By breaching the terms of the treaties with the Awdalians, the British derailed our state and played poker with our territory. The remaining parts of Awdal joined voluntarily to Somalia on 1st July 1960. The only fruits of independence became a nightmare: the loss of sovereignty, denial of basic rights of the individual, naked nepotism, intentional underdevelopment by taxing the people without ever spending a penny for the Awdalian welfare. The sandy beaches of Mogadishu sucked and absorbed that revenue. " We cann't fill the bag whose bottom lies at Mogadishu and whose rim touches Loyi'ado - a distance of two thousand kilometers-!", an Awdalian complained once. Awdal became the true stepchild of Somalia.

A single project was not carried out in Awdal since independence. The virtual nonexistence of any infrastructure in Awdal, its neglected landscape that was denuded of both flora and fauna, and the abject poverty of its citizens speaks poetically for the kind of union that we were duped into.

In addition, the Awdalian carried the brunt of the wars against the dictatorial regimes of ex-Ethiopia. As a result the ex-regime's troops shelled, bombed and strafed all towns and villages in Awdal. On 31st January 1984, the Mengistu planes killed in twenty seconds eighty-four civilians, including thirty-five children, at Borama. While all this was going on, most Somalis were ignorant of the plight of these people and no one reported their continuous suffereng. Moreover, the Awdalians shared with the rest of the country the brutal oppression of dictator Said Barre. It goes down in history that the first innocent civilian killed by Barre's firing squads in Hargiesa in 1970 was from Awdal.

On top of all these calmities, the SNM, spearheading an entire division of Mengistu's troops, slaughtered five hundred fifty innocent people in Borama, Dila and Zeila on February 4th, 1991. And when the SNM had occupied, with the "generous" assistance of these troops and had inherited the ammunation dumps in the north of somalia, the first step they took was a deliberate clan-cleansing of the non-Isack clans from their homes at Gebiley, Hargeisa, Arabsiyo, Eiragavo and Ainabo. To humilate further the clans in the north, they hijacked their elders and took them first to Harar (Ethiopia) in April 1991 and later to Burao where they were intimidated to sign a "compulsary declaration of independence" that has been concocted directly by "Mengistu Haila Miriam". Two ex-Ethiopian generals, violating directly the sovereignty of the Somali state, were directing that so-called conference at Burao. Thus, by carrying out these repugnant deeds that are contrary to whatever values or culture we shared as Somlis since the millennium, the SNM dealt a mortal blow to any bonds of brotherhood and sisterhood we shared.

Now, if Somalia disintegrates, the Awdalians, who has been the victims of the Somali nationalism, cannot be blamed. History is our testimony that we have persevered in spite of all kinds of oppression and that we have striven to keep Somalia together but that earned us only scron and a threat to our very survival.

We can't be aprt of a nation guided by the whims of crazy clannish zealots; nor shall we be part of a nation kept together by coercion, and we will never accept again to be the underdogs waiting for the offal.

We understand fully that the decisions we have taken are not light but God has not ordained that we become the guardians of the Somali nation. after seeing half a million of its people starved to death and millions of others obliged to go through all kinds of humiliation, Somalia is not the same any more.

Therefore, by solemnly declaring our independence, we are confident that the Somali people will support us for they understand fully the conditions and circumstances that abliged us to undertake this historic decision.

Henceforth, we are the Awdal Republic - the heart of the DIR clan (GADABOURSI and ISSA) - and our boundaries are those of the 19th century Awdal.

Signed by the people of Awdal Republic.See More

Sunday 24 October 2010

La manque d'une opinion publique impartial à Djibouti .

'Dans les chansons de Boutile,on la chante pas avec une note élevée et on la chante pas avec une note basse,mais on la chante avec une note médiale,allez Hodhiya,Hodhiya!' est une famée berceuse Somali. En l'impliquant sur la scène politique de Djibouti,c'est-à-dire que les différentes partis chantent différemment et le peuple doit faire 'l'harmonie' seulement sans avoir une opinion publique impartiale!
Ce n'est pas nécessairement à cause de l'ignorance ou d'une état d'esprit apolitique que nous nous manquons une opinion politique impartiale que nos politiciens doivent faire leur comptes comme une véritable obstacle devant leur ambitions politiques et personnelles,mais c'est d'une côté de la conscience publique pour l'immoralité associé à la politique généralement et de l'autre côté,le peuple manque de la confiance substantielle envers les politiciens particulièrement. Dans le saisons électorales,nous témoignons une agitation politique globale et sans précédant dans laquelle,avec l'ambiance du KHAT naturellement,les politiciens faisant des promesses surréaliste et extravagante qui ne se matérialisent absolument pas. Ça nous explique la raison dont nous entendons des exclamation comme 'C'est de la politique!' quand quelque un viens de mentir et cette confusion n'est pas nécessairement volontaire mais bien le contraire.
C'est parce que l'élite fondateur de Djibouti contemporaine utilisait des combinaisons des méthodes,qui n'étaient pas démocratique et donc manquait de la transparence, pour gérer la nation socialement et politiquement,une habilité quasiment absent chez la nouvelle génération de politiciens qui se sont ,d'une façon ou d'une autre,perdu dans l'ambiguïté de leur aspirations et leur incompétence de se présenter autrement. C'est comme ca que le parti au pouvoir,le RPP,est devenue un parti-état qui dynamiquement instrumentalise le peuple a son profit tandis que l'opposition,même en usent le même mécanisme que le RPP,restent et ,resterons pour l'avenir ,marginalisés non pas parce que le RPP expressément leur distance ,mais parce que leur incompatibilité d'encadrement d'effectifs diversifié de le RPP et manque de clairvoyance politique et sociale!C'est parce que leur vision irrationnelle,rhétorique vide et superficielle et des personnalité incohérents que l'opposition est totalement rendue impotent et leur discours,qui est plutôt superflu,très passive!C'est pour cela qu'on voit des partis opposants au régime actuel lesquels leur dirigent s'éloignent de la racisme,tribalisme,favoritisme familiale népotisme ou clientélisme,mais en même temps se sont entouré par leur propre ethnie,tribu,famille et clients préférés!
Néanmoins,les jours de noces de RPP ne durer pas longtemps non pas parce que l'opposition va se transformer un adversaire redoutable dans un nuit et jour,mais plutôt parce que le peuple se dirige vers,couranté de l'impasse politique du pays,une réveille qui pourra être fatale pour les 'hyènes',peu importe leur statu respective d'appellation populaire!Et l'âne du RPP ne semble plus aussi robuste qu'auparavant et le peuple sait chercher dans les alentours,des autre 'ânes qui leur amènent de l'eau de la puits!' autant que la situation se complique de jour en jour généralement sur le plan sociale,politique et économique du pays
Paix et du Lait.
Sougeuh Wabéri Darar.

Le manque d'une opinion publique impartial à Djibouti .

 'Dans les chansons de Boutile, on la chante pas avec une note élevée et on la chante pas avec une note basse, mais on la chante avec une note médiale, allez Hodhiya, Hodhiya!' est une famée berceuse Somali. En l'impliquant sur la scène politique de Djibouti, c’est-à-dire que les différentes partis chantent différemment et le peuple doit faire 'l'harmonie' seulement sans avoir une opinion publique impartiale!
Ce n'est pas nécessairement à cause de l'ignorance ou d'une état d'esprit apolitique que nous nous manquons une opinion politique impartiale que nos politiciens doivent faire leur comptes comme une véritable obstacle devant leur ambitions politiques et personnelles, mais c'est d'une côté de la conscience publique pour l'immoralité associé à la politique généralement et de l'autre côté, le peuple manque de la confiance substantielle envers les politiciens particulièrement. Dans les saisons électorales, nous témoignons une agitation politique globale et sans précédant dans laquelle, avec l'ambiance du KHAT naturellement, les politiciens faisant des promesses surréaliste et extravagante qui ne se matérialisent absolument pas. Ça nous explique la raison dont nous entendons des exclamations comme 'C'est de la politique!' quand quelque un viens de mentir et cette confusion n'est pas nécessairement volontaire mais bien le contraire.
C'est parce que l'élite fondateur de Djibouti contemporaine utilisait des combinaisons des méthodes, qui n'étaient pas démocratique et donc manquait de la transparence, pour gérer la nation socialement et politiquement, une habilité quasiment absent chez la nouvelle génération de politiciens qui se sont ,d'une façon ou d'une autre, perdu dans l'ambiguïté de leur aspirations et leur incompétence de se présenter autrement. C'est comme ca que le parti au pouvoir, le RPP, est devenue un parti-état qui dynamiquement instrumentalise le peuple a son profit tandis que l'opposition, même en usent le même mécanisme que le RPP, restent et, resterons pour l’avenir, marginalisés non pas parce que le RPP expressément leur distance, mais parce que leur incompatibilité d'encadrement d'effectifs diversifié de le RPP et manque de clairvoyance politique et sociale! C’est parce que leur vision irrationnelle, rhétorique vide et superficielle et des personnalités incohérents que l'opposition est totalement rendue impotent et leur discours, qui est plutôt superflu, très passive! C’est pour cela qu'on voit des partis opposants au régime actuel lesquels leur dirigent s'éloignent du racisme, tribalisme, favoritisme familiale népotisme ou clientélisme, mais en même temps se sont entouré par leur propre ethnie, tribu, famille et clients préférés!
Néanmoins, les jours de noces de RPP ne durer pas longtemps non pas parce que l'opposition va se transformer un adversaire redoutable dans un nuit et jour, mais plutôt parce que le peuple se dirige vers, courante de l'impasse politique du pays, une réveille qui pourra être fatale pour les 'hyènes', peu importe leur statu respective d'appellation populaire! Et l'âne du RPP ne semble plus aussi robuste qu'auparavant et le peuple sait chercher dans les alentours, des autre 'ânes qui leur amènent de l'eau du puits!' autant que la situation se complique de jour en jour généralement sur le plan sociale, politique et économique du pays
Paix et du Lait.
Sougeuh Wabéri Darar.

Friday 22 October 2010

The Djiboutian regime and its double-standard handle of the Somalian delicate issues.

Djibouti has been playing an active and vital role in the Somali political scene since the fall of Siad Barre’s regime at the end of 1980s, and it’s repeatedly summoned various Somali factions, led by war-lords or common peace activists, in the Djiboutian soil for peace initiatives, negotiations and talks sponsored and orchestrated by Djibouti itself for the last two decades. At the surface, this was construed as show of gratitude to Somalia and its people who have stood beside Djibouti’s freedom bid and fight in the 1970s, but how the regime heinously exploited the chaotic situation of Somalia to its benefit and continuously dealt with the breakaway NW Somali region alongside the main question of Somalia’s unity and sovereignty, calls for fresh analysis of the entire issue. Let’s scrutinize the crux of the matter as follows.
Notwithstanding the fact that Djibouti owes too much of its existence to Somalia and its people, what we’ve been witnessing the Djibouti regime was doing so far was unfortunately far from being sincere attempt to stabilize Somalia, and was rather a sheer chameleon attitude towards the different components of the Somali people and regions. For instance, while all those Djibouti-brokered peace deals failed to materialize due to their factually groundless basis, Djibouti invites now and then representatives of the shaky government in the South of the country and others from the secessionist NW region of Somalia. Lately we became aware that a so-called minister of the breakaway region was on an official visit to Djibouti for the preparation of Silanyo’s next visit, by which he supposedly requested for an official reception of Silanyo accompanied by bouquets, red carpet, fanfare and national hymn chanting! Politically speaking, that means simply that this self-proclaimed republic of the breakaway NW region of Somalia asks for official recognition from Djibouti which could lead in return to its international recognition of higher level. Meanwhile this same regime is the main supporting source of the government in Southern Somalia, which by no means has ever (or will never do so )relinquished the unity of Somalia at all. In this context, when is the regime in Djibouti is expressing goodwill towards Somalia? Is it by manipulating the war ravaged country of Somalia and its people who is stricken by all forms of man-made and natural disasters for the last two decades and more, or being an honest mediator whose primary goal is to help a neighboring sister country out its ordeal? How come that ,even when the president of the provisional government in the South of Somalia,Mr.Sharif,; who enjoys an international recognition of some extent, has never been considered ,honored and received as a head of state, an unrecognized, self-proclaimed leader of secessionist region would ask for that privilege? Or is it the charms of the Djiboutian first lady has bore its weight and hence influenced the whole scenario? Or is IOG poised to serve more gallantly towards his in-laws than he actually did to his ousted maternal uncle Dahir Rayale?
Suppose Hargeisa is being rewarded for the relative peace that prevails in the region, which is itself as a result of people’s own volition and will so far, not the outcome of just and fair approach to the status quo equality of the different tribes? Has Hargeisa treated the people of Sool, Sanag, Gubban (or Zeila) better than Siad Barre'd treated them,in order to claim statehood?
I wonder which, but nonetheless, the delicate situation of Somalia’s current affairs need more prudent and precautious measures to be taken in order to avoid rendering the already harrowing plight of the Somali people hopeless and the difficulty that Somalia is facing now more desperate.
Peace and Milk,
Sougeuh Wabéri Darar.